Eve Dinant (E. Lynn) ne supporte plus la vie dépravée de son mari Fred Ryce (J. Toulout). Elle tue la soeur de Ryce qui la menaçait. Elle paye le silence de Ryce et divorce. Bien des années plus tard, remariée à un compositeur Enric Damor (Séverin-Mars), elle se retrouve face à face avec l'ignoble Ryce qui veut épouser sa belle-fille...
Nous sommes vraiment en plein mélodrame, pas flamboyant, mais extrêmement excessif ! Gance ne cherchait pas à manier les subtilités, mais, il recherche les personnages exacerbés. Toulout est ignoble à souhait. La scène de quasi viol avec Emmy Lynn semble avoir été inspirée par The Cheat (1915) de DeMille, jusque dans les éclairages. la musique est très importante dans le film et elle a ici été composée par Amaury du Closel. Il s'inspire largement de thèmes de Beethoven, Wagner et Strauss. Mais, bizarrement, il ne réussit pas à apporter cette unité stylistique que j'avais admirée dans sa partition pour Michel Strogoff. Un film très ambitieux que je ne trouve pas totalement réussi contrairement à La Roue.
Nous sommes vraiment en plein mélodrame, pas flamboyant, mais extrêmement excessif ! Gance ne cherchait pas à manier les subtilités, mais, il recherche les personnages exacerbés. Toulout est ignoble à souhait. La scène de quasi viol avec Emmy Lynn semble avoir été inspirée par The Cheat (1915) de DeMille, jusque dans les éclairages. la musique est très importante dans le film et elle a ici été composée par Amaury du Closel. Il s'inspire largement de thèmes de Beethoven, Wagner et Strauss. Mais, bizarrement, il ne réussit pas à apporter cette unité stylistique que j'avais admirée dans sa partition pour Michel Strogoff. Un film très ambitieux que je ne trouve pas totalement réussi contrairement à La Roue.
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