Une nouvelle critique de mon livre vient de paraître dans le numéro de Positif du mois de juin 2013:
La critique ci-dessus me donne
envie de réagir. Ma démonstration selon laquelle Albert Capellani ne
travaillait pas avec Antoine serait « fragile ». Je suis vraiment
étonnée de lire un tel qualificatif surtout lorsque la démonstration en
question est soutenue par des recensements, des listes électorales, un dossier
militaire, la correspondance d’André Antoine, l’interview d’un contemporain et
d’autres documents de la BnF. Je crois avoir connu des assertions plus
fragiles, comme celles de Charles Ford, qui ne fournit aucune preuve et aucune
référence et que l’auteur de cette critique a reprises – sans vérifications –
dans son récent documentaire sur Albert Capellani.
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